Découvrez ce superbe set de deux vide-poches vintage, délicatement façonnés en forme de coquillages naturalistes, soigneusement chinés par nos soins !
Probablement datés des années 60/70, ces pièces uniques évoquent à la fois le charme et l’élégance de cette époque révolue. Leur design singulier peut évoquer subtilement des formes organiques (vulve ?), ajoutant une dimension intrigante et artistique à leur esthétique.
Ces vide-poches seront du plus bel effet dans votre cabinet de curiosités, apportant une touche de raffinement et de mystère. Ils trouveront également une place de choix dans votre entrée ou votre salle de bain, parfaits pour accueillir vos bijoux ou petits objets du quotidien avec style et originalité.
Que vous soyez amateur d’objets décoratifs rares ou à la recherche de pièces pratiques et élégantes, ces vide-poches coquillage sauront séduire et surprendre vos invités par leur beauté et leur singularité.
Dimensions :
Grand coquillage : 19 x 11,5 x 8,5 cm
Petit coquillage : 10,5 x 7 x 5,5 cm
Ce set est un modèle de brocante donc unique.
Plusieurs coquillages peuvent évoquer des formes vulvaires en raison de leurs caractéristiques morphologiques. Parmi les plus connus, on trouve :
La coque (Cardium) : Avec ses rainures et sa forme incurvée, elle peut rappeler des formes anatomiques.
La palourde (Venerupis) : Sa forme ovale et les lignes délicates sur sa surface peuvent suggérer des similarités.
La coquille Saint-Jacques (Pecten maximus) : Bien que moins directement suggestive, son ouverture symétrique peut également rappeler des formes anatomiques féminines.
Le bénitier (Tridacna) : Ses bords ondulés et son ouverture centrale peuvent aussi être comparés à des formes vulvaires.
Dans le contexte des cabinets de curiosités, il n’est pas rare de discuter des formes suggestives des coquillages. Les cabinets de curiosités, qui remontent à la Renaissance, étaient des collections privées d’objets rares et exotiques destinés à susciter l’émerveillement et la curiosité.
Les formes organiques et les similitudes avec des parties du corps humain fascinaient les collectionneurs et les visiteurs, car elles soulignaient les merveilles et les mystères de la nature.
Ainsi, mentionner la ressemblance de certains coquillages à des formes vulvaires n’est pas incongru dans ce contexte. Cela peut même ajouter une dimension supplémentaire d’intrigue et de conversation autour de la pièce, alignant parfaitement avec l’esprit des cabinets de curiosités, où la beauté et l’étrangeté de la nature étaient mises en valeur.
